Chroniques de la SNEQ (5 de 12)

L’histoire de la rentrée

L’été se termine, les vacances aussi… C’est la rentrée !

Pour la plupart d’entre nous, les vacances sont choses du passé. Cependant, nos petites histoires estivales se figent en nous et font désormais partie de nos vies. Toutes ces images nous aident à adoucir le rude retour au quotidien et …. à planifier nos prochaines actions. Sans souvenirs, nous pourrions, année après année, visiter les mêmes lieux et ne jamais savoir s’ils nous ont plu ou non. En somme, nos histoires sont notre expérience et notre savoir et c’est pourquoi il est si important de les préserver et de les garder vivantes.

La SNEQ est enchantée que le gouvernement du Québec renforce l’enseignement de l’histoire nationale au primaire, au secondaire et au collégial. Les enfants du Québec doivent savoir d’où ils viennent pour mieux comprendre le monde qui les entoure et pour mieux construire celui de demain.

Je vous invite à vous replonger dans nos souvenirs collectifs par un séjour au nouveau Parc national du Lac-Témiscouata. Vous pourrez y découvrir des fragments de l’histoire, datant de presque dix mille ans, laissés par nos prédécesseurs, nos ancêtres. Autant de preuves du chemin parcouru que de notre lien profond avec notre territoire.

Nos souvenirs, notre histoire, nos origines sont des ressources aussi importantes que d’autres plus tangibles comme le vent, la forêt, l’eau, car elles inspirent la sagesse, nous guident vers de meilleures décisions et orientent notre futur.

Si l’énergie vous manque en cet automne qui commence, laissez-vous bercer par vos meilleurs souvenirs. L’histoire, c’est un peu ça aussi.

Alain Martineau, président du CA de la SNEQ

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Publiée dans le Courrier du Fleuve et le Saint-Laurent-Portage, le mercredi 2 octobre 2013

Chroniques de la SNEQ (4 de 12)

Défendre et faire fructifier notre bien commun culturel

La culture québécoise fait partie de notre bien commun, comme nos fonds de placements et nos sociétés financières. Elle appartient à notre nation, nous définit et nous singularise entre toutes les autres. Elle est unique en Amérique ; elle côtoie les cultures  anglaise, espagnole, portugaise et toutes les différentes cultures amérindiennes. Comme bien d’autres, elle lutte pour conserver et transmettre sa réalité et son dynamisme. Elle évolue avec et sous l’influence d’autres courants dominants, des mouvements migratoires, et maintenant, elle  rivalise avec toutes les autres modes drainées par les médias sociaux. La télévision, la radio, le cinéma, le réseau internet, les jeux vidéo, la musique populaire et les médias sociaux imposent une nouvelle dynamique culturelle. La mondialisation économique et culturelle est chez nous et nous l’avons accueillie sans méfiance.

Cependant nous avons appris depuis les dix dernières années que le laissez-faire linguistique et culturel nous conduit inexorablement vers l’érosion de notre bien culturel commun. Cette érosion, lente et efficace comme nos rivières, rongent subtilement notre paysage. Là où le français était vivant et sans partage, il est désormais moins présent, souvent métissé de mots anglais et parfois il est disparu…

Sans nier notre environnement culturel, linguistique et socio-économique, il conviendrait de définir entre nous une politique claire qui viserait à faire fructifier notre bien commun culturel. Cette politique devrait proposer de multiples interventions comme la protection de la langue et du patrimoine québécois, une immigration respectueuses de la langue officielle du Québec, une participation de l’État à nos productions artistiques et une politique de diffusion francophone dans nos médias privés et publics. Il faudrait aussi investir dans le réseau scolaire et faire du français la langue de l’apprentissage, de la création, du jeu et du développement social. Il faudrait enseigner aux jeunes québécois l’histoire afin que soit comprise l’importance de l’héritage du bien commun légué par ceux et celles qui ont bâti la nation québécoise.

André Morin, administrateur de la SNEQ

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Publiée dans le Courrier du Fleuve et le Saint-Laurent-Portage, le mercredi 21 août et le mercredi 25 septembre 2013

Chroniques de la SNEQ (3 de 12)

Avons-nous tué l’espoir ?

Québécois, dans notre histoire récente, nous avons eu un grand projet qui aurait pu mobiliser ce que plusieurs générations auraient produit de meilleur; nous avions commencé à nous construire un vrai pays pour pouvoir y vivre et y épanouir notre génie propre, dans une langue que nous avons su conserver, ajoutant ainsi une façon originale d’exprimer l’Amérique et de lutter contre l’uniformisation des cultures.

Mais, aussitôt qu’ils se sont sentis menacés, les pouvoirs de l’argent à qui profitent le statu quo, les intérêts partisans, les institutions politiques qui nous tenaient sous leur domination et les parasites engraissés par l’ancien système, toutes les forces d’inertie se sont liguées pour étouffer ce projet.

Comme système de remplacement à la fierté de nous affirmer et à notre colonne vertébrale morale, on nous impose, à coup de publicité incessante, la religion du multiculturalisme, le bonheur de la consommation, la passion pour l’accumulation de richesse et la noblesse de la réussite matérielle individuelle à n’importe quel prix.

Comment se fait-il que personne parmi nos élites intellectuelles ne s’acharne à dénoncer cette situation qu’ils ne peuvent ignorer ? Encore une fois, ceux qui auraient ce qu’il faut pour guider ce petit peuple courageux le trahissent, par paresse, par lâcheté ou par intérêt personnel. Au lieu de donner le goût de la liberté, on lui apprend à ramper sous prétexte qu’il risque moins de se faire mal en tombant !

C’est comme ça qu’on tue l’espoir et qu’on se retrouve avec une jeunesse privée de mémoire qui décroche, qui se drogue ou qui se tue, En aurons-nous jamais assez ?

Lucien Cimon, administrateur de la SNEQ

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Publiée dans le Courrier du Fleuve et le Saint-Laurent-Portage, le mercredi 24 juillet 2013

 

Chroniques de la SNEQ (2 de 12)

Le coût de notre survivance : l’affirmation

La SNEQ se voue à l’affirmation du peuple québécois.  De bien grands mots, diront certains, mais dans le concret de la vie, affirmer un Québec différent par sa langue, sa culture, ses institutions et son histoire est devenu presqu’impossible dans un Canada qui se construit en marge du Québec.

La nation québécoise que le Canada reconnaît n’est qu’une nation virtuelle, folklorique, non un peuple reconnu, tout au plus une ethnie parmi la mosaïque canadienne. L’hégémonie d’Ottawa creuse continuellement un déficit politique, linguistique, démocratique et économique entre la «nation» québécoise et les autres nations du monde. Une crise de cohabitation qui s’accentue au détriment du Québec.  Ne plus voir cette disproportion discriminatoire relève d’une réelle ignorance de la réalité.

C’est en situation de crise linguistique, identitaire, culturelle et historique qu’il nous faut connaître nos convictions les plus fondamentales, celles dont nous ne pouvons nous éloigner sans nous renier. Historiquement, les peuples qui ne contrôlent pas leur devenir, s’éteignent.  L’existence même du mouvement nationaliste n’est ni réducteur, ni exclusif. Il est lié à la question la plus fondamentale et existentielle qui soit : celle de notre indépendance politique.

Ce nationalisme québécois prend racine dans la création de la première société Saint-Jean Baptiste, en 1834. Or, depuis les États généraux du Canada français de 1968, il ne fait aucun doute que les sociétés nationales constituent le dernier bastion, le dernier carré, le dernier gardien pour défendre et mettre de l’avant l’idéal d’un pays français en Amérique. Ce mouvement nationaliste se considère comme un gouvernement en exil sans pouvoir véritable qui, de loin, illumine et garde la flamme, mais qui, faute de moyens et de pouvoirs, est réduit à sauver ce qui reste d’essentiel pour notre nécessaire survivance. De tout temps, sauvegarder la patrie a été le devoir le plus sacré des citoyens.

Trop de nos élites, par vénalité ou velléité, gardent un silence gênant. Un peuple qui aspire à être du concert des nations ne peut laisser désavouer ses lois par d’autres. Avons-nous vraiment le choix de ne pas s’affirmer? Ce droit à l’autodétermination devrait mobiliser l’intelligence, le cœur et l’énergie de chacun.

Armor Dufour, administrateur de la SNEQ

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Publiée dans le Courrier du Fleuve et le Saint-Laurent-Portage, le mercredi 26 juin 2013

 

Chroniques de la SNEQ (1 de 12)

La Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ) est un organisme à but non lucratif qui a pour objectif de faire la promotion de la langue française, de l’histoire nationale, de la souveraineté du Québec et de la valorisation de l’identité québécoise.

La fierté d’appartenir au peuple Québécois est au cœur de ses actions. Les administrateurs de la SNEQ publieront mensuellement, à compter d’aujourd’hui, un texte d’opinion qui aura pour objectif premier de jeter un éclairage sur un aspect de la vie québécoise qui, selon nous, méritent de plus amples réflexions et peut-être de nouveaux débats. Voici le premier des 12 textes à paraître. Bonne lecture !

Le prix de l’indifférence

Comme organisme voué à la promotion de notre culture, il nous apparaît important de signaler une menace qui pèse sur notre avenir collectif. Ce danger,  c’est l’anglomanie galopante dont nous sommes presque tous atteints, qui fait que plusieurs sont prêts à tout sacrifier pour que leurs enfants puissent apprendre l’anglais, dès la maternelle, sans se soucier du fait qu’ils ne savent que baragouiner leur langue maternelle.

S’il est éminemment souhaitable que tout individu apprenne à se débrouiller en anglais, je ne crois pas qu’il serait intelligent d’exiger des Québécois qu’ils défraient les coûts de tout un système parallèle d’éducation pour répondre à des besoins individuels. Il ne l’est pas plus de les faire payer pour imposer des cours d’anglais intensif à des nouveaux arrivants qui ne savent pas le français. Faut-il le rappeler : au Québec, selon nos lois, la seule langue officielle, c’est le français.

On agit souvent comme si notre langue maternelle était un logiciel inerte; c’est pourtant elle qui est le cœur-même de notre identité; c’est elle qui nous donne une voix pour exprimer notre façon originale de vivre l’Amérique. Défendre le français, c’est protéger notre âme individuelle et collective qui charrie une vision du monde différente : celle que nous avons développée au cours des 450 ans de notre aventure sur ce territoire. 

«La disparition d’un peuple, c’est un crime contre l’humanité, car c’est la priver d’un élément qui la différencie d’elle-même» (Miron). On oublie que la mort d’un peuple, c’est lent, long et douloureux. Et c’est toujours possible! Voudrions-nous que nos petits enfants aient un jour à mener les combats désespérants que mènent aujourd’hui les peuples autochtones et les minorités françaises de la Louisiane ou celles des autres provinces canadiennes? Voudrions-nous que les Miron, Perrault, Dumont, Beaulieu, Vigneault, Leclerc, Garneau, Nelligan et tous nos grands artistes aient vécu pour rien?

Notre paresse et notre indifférence actuelles risquent de rendre tout ce patrimoine illisible; elles risquent de faire de nos générations de pittoresques mais pitoyables artéfacts d’une histoire avortée.

Lucien Cimon, administrateur de la Société nationale de l’Est du Québec

Pour commenter ou émettre un avis : sneq@globetrotter.net.

Publiée dans le Courrier du Fleuve et le Saint-Laurent-Portage, le mercredi 15 mai 2013

 

 

 

 

 

 

 

PROGRAMME D’ASSISTANCE FINANCIÈRE AUX MANIFESTATIONS LOCALES DE LA FÊTE NATIONALE 2013

Rimouski, le 4 mars 2013 – La Société nationale de l’Est du Québec invite les organismes du Bas-Saint-Laurent qui aimeraient mettre sur pied des activités dans le cadre de l’édition 2013 de la Fête nationale du Québec à soumettre un projet par le biais du Programme d’assistance financière aux manifestations locales.

Le Programme d’assistance financière, soutenu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport et administré par le Mouvement national des Québécoises et Québécois, vise à favoriser l’organisation de manifestations et de réjouissances qui suscitent la participation des Québécoises et des Québécois à la Fête nationale. « Nous sommes très fiers de la participation des gens de notre région.  Lors de la dernière édition, 70 manifestations festives ont eu lieu au BSL. Une fois de plus, nous comptons sur eux pour présenter des projets originaux et de qualité qui plairont à la population. Ces projets représentent une occasion privilégiée pour célébrer collectivement notre fierté nationale ! », ajoute le président de la SNEQ, Alain Martineau.

Les organismes ou municipalités qui désirent se prévaloir de ce programme ont jusqu’au 5 avril 2013 pour présenter une demande. Les formulaires sont disponibles dès maintenant auprès de la SNEQ et sur le www.fetenationale.info.

La Société nationale de l’Est du Québec agit à titre de mandataire de la Fête nationale du Québec pour le Bas-Saint-Laurent. À ce titre, elle représente le Mouvement national des Québécoises et Québécois qui coordonne depuis 1984 la Fête nationale au nom du gouvernement du Québec.

Concours Jour du drapeau du Québec

Rimouski, le 29 janvier 2013. La Société nationale de l’Est du Québec vous informe que le tirage au sort organisé en collaboration avec QUÉBÉCOR Média pour souligner le 65e anniversaire du drapeau du Québec a été effectué aujourd’hui en présence du président de la SNEQ, monsieur Alain Martineau et de madame Julie Sirois, conseillère publicitaire pour QUÉBÉCOR Média.

Les heureux gagnants sont monsieur Sylvain Roy, de Saint-Angèle-de-Mérici et monsieur Ghislain Émond de Saint-Philippe-de-Néri. Félicitations aux gagnants qui se sont mérités chacun un ensemble de matériel de fierté nationale aux couleurs du fleurdelisé d’une valeur de 150 $.

 

La Société nationale de l’Est du Québec dévoile le nom des classes gagnantes des concours de français Des mots d’hier… à aujourd’hui et Contes et légendes d’hier… à aujourd’hui

Rimouski, le 22 janvier 2013 – La Société nationale de l’Est du Québec est heureuse de faire connaître le nom des classes gagnantes de ses concours de français. Ces deux concours s’adressent aux élèves des 2e et 3e cycles des écoles primaires du Bas-Saint-Laurent. Cette année, 85 classes, réunissant 1 455 élèves du primaire, ont participé. Six classes se sont méritées une série de livres d’auteurs québécois et quatre ont reçu une bourse de 150 $ à être utilisée pour la réalisation d’une activité culturelle.

Le concours Des mots d’hier… à aujourd’hui est conçu pour le 2e cycle du primaire et a pour objectif de faire découvrir aux jeunes élèves l’évolution de la langue française au Québec à partir d’extraits de notre littérature régionale. 

Le concours Contes et légendes… d’hier à aujourd’hui, s’adresse, pour sa part, aux élèves du 3e cycle du primaire et consiste à réaliser une fiche de lecture à partir de textes de trois auteurs de notre région.

Les classes gagnantes sont :

De la Commission scolaire de Kamouraska-Rivière-du Loup

  • La classe de Louise Guy, de l’École Vents-et-Marées de Cacouna
  • La classe de Caroline Dubé, de l’École Joly de Rivière-du-Loup
  • La classe de Geneviève Rioux, de l’École La Chanterelle de Saint-Paul-de-la-Croix
  • La classe de Katya Ouellet, de l’École Joly de Rivière-du-Loup

De la Commission scolaire du Fleuve-et-des-Lacs

  • La classe de Diane Bouchard, de l’École Notre-Dame de Témiscouata-sur-le Lac
  • La classe de Véronique Malenfant, de l’École Sainte-Marie de Saint-Jean-de-Dieu

De la Commission scolaire des Monts-et-Marées

  • La classe de France Charrette, de l’École Assomption de Baie-des-Sables
  • La classe de Josée Dechamplain, de l’École Zénon-Soucy de Matane

De la Commission scolaire des Phares

  • La classe de Stéphanie Reid, de l’École Aquarelle de Rimouski
  • La classe de Claudie Talbot, de l’École des Sources de Saint-Anaclet

Le président de la SNEQ, monsieur Alain Martineau, est heureux de l’engouement des jeunes du Bas-Saint-Laurent pour ces deux concours. «Cette année, c’est près de 1 500 jeunes du primaire qui se sont laissés inspirer par la littérature québécoise et régionale. Je remercie les enseignantes et les enseignants pour leur participation exceptionnelle. Pour la SNEQ, c’est un encouragement réel à poursuivre une de ses missions : la promotion et la défense de la langue française.»

21 janvier 2013 – 65e anniversaire du drapeau du Québec

Rimouski, le 15 janvier 2013 – La Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), organisme qui œuvre à développer la fierté de la nation québécoise et à défendre les intérêts du peuple qui la compose, désire rappeler à la population du Bas-Saint-Laurent le 65e anniversaire du drapeau du Québec : pour la première fois, le 21 janvier 1948, à quinze heures, le Fleurdelisé flottait sur la tour centrale de l’édifice de l’Assemblée nationale du Québec.  

La SNEQ rappelle également que : «Le drapeau témoigne de l’identité culturelle des individus et, par le fait même, il est au cœur du patrimoine symbolique des nations. Depuis son adoption en 1948, le fleurdelisé est un symbole fort de l’identité québécoise».1

Le jour du drapeau est une occasion pour les Québécoises et les Québécois de se rallier autour d’un emblème nécessaire à toute nation. Le Fleurdelisé nous permet de reconnaître l’originalité, la personnalité et le caractère distinct du Québec.

Avec la collaboration du gouvernement du Québec, le Mouvement national des Québécoises et des Québécois a également mis à la disposition du public le site www.jourdudrapeau.qc.ca qui présente de l’information pertinente sur l’histoire de notre drapeau, les emblèmes du Québec, de même que l’ensemble de la programmation des activités qui sont organisées dans toutes les régions du Québec. De plus, une trousse pédagogique destinée aux élèves du primaire et du secondaire et une affiche ont été créées tout spécialement à l’occasion du jour du Drapeau. Les enseignants qui souhaiteront l’utiliser trouveront l’ensemble des documents sur ce site, sous l’onglet Éducation.

La SNEQ est aussi un organisme indépendant des partis politiques, mandaté par le Mouvement national des Québécoises et des Québécois pour l’organisation de la Fête nationale du Québec.

 

  1. Encyclopédie du patrimoine culturel de l’Amérique française

LA SOCIÉTÉ NATIONALE DE L’EST DU QUÉBEC REMET 14 BOURSES DANS LE CADRE DE SON CONCOURS «DES PIONNIERS DE LA DÉMOCRATIE PARLEMENTAIRE»

Rimouski, le 25 octobre 2012 – La Société nationale de l’Est du Québec a procédé au tirage au sort des gagnants de son concours d’histoire Des pionniers de la démocratie parlementaire.

Cette année, des enseignants de 8 écoles secondaires du BSL ont inscrit près de 700 élèves à ce concours.  Cette activité a permis à ces jeunes de découvrir les Papineau, Chénier et Chevalier De Lorimier, des hommes et des femmes qui ont travaillé avec conviction afin d’instaurer un système parlementaire démocratique.

Ce concours a été rendu possible grâce à la collaboration exceptionnelle de ces enseignants et à la générosité de tous les députés qui étaient en poste au BSL lors de l’année scolaire 2011-2012. La SNEQ tient à les remercier : messieurs Pascal Bérubé, Guy Caron, Jean D’Amours, Jean-François Fortin, François Lapointe, Irvin Pelletier et André Simard, ainsi que madame Danielle Doyer.  Cette année, la contribution de la SNEQ et des députés fédéraux et du Québec a permis de remettre 14 bourses de 100 $ à autant d’élèves de quatrième secondaire. Félicitations à tous ces jeunes!

Les gagnantes et gagnants des bourses de 100 $ sont :

Kim Pelletier

École polyvalente de La Pocatière

Enseignant : Stéphane Dionne

Kathleen Gauthier, Sarah Côté, Marc-Antoine Simard, Olivier Martel et Élisabeth Gauthier

École polyvalente de Matane

Enseignant : Laval Rioux

Catherine Michaud-Saint-Pierre

École secondaire du Transcontinental

Enseignant : François Roy

Lou-Ann Thériault

École secondaire de la Vallée-et-des Lacs

Enseignant : Dave Dumas

Gabrielle Boucher-Denis

École l’Arc-en-Ciel de Trois-Pistoles

Enseignant : Benoît Dumais

Maxime Bossé-Michaud, Félix-Antoine Roy et Jérémy Raymond

École secondaire de Rivière-du-Loup

Enseignante : Marlène Dionne

Patrick Cloutier

École secondaire de Cabano

Enseignant : Sylvain Thériault

Émilie Bourgeault

École secondaire Chanoine-Beaudet

Enseignant : Sylvain Tremblay